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15 novembre 2012 4 15 /11 /novembre /2012 14:34

*Les bureaux habituellement ouverts durant la pause méridienne seront ouverts jusqu'à 14 heures.

*Les autres seront ouverts jusqu'à 12 heures

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15 novembre 2012 4 15 /11 /novembre /2012 09:10

Quelle stupeur pour les collègues qui ont souffert par la suppression brutale de leur métier d’électricien, plombier, menuisier, peintre, serrurier, mécanicien, de lire dans le dernier Jourpost la création d’emploi “d’ouvrier d’état” appelé par La Poste “l’homme bleu”…
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14 novembre 2012 3 14 /11 /novembre /2012 15:06

 

"500 € pour reconstruire sa vie ailleurs, voilà ce que la direction de La Poste propose à ses agents". A la PIC (plateforme industrielle courrier) Roussillon, c'est la colère qui domine. Hier, toutes les organisations syndicales (CGT, CFDT, CNT, FO et Sud) étaient reçues dans le cadre d'une réunion plénière par le directeur de la PIC de Perpignan. L'objet de cette rencontre : "le projet de réorganisation et de suppressions d'emplois qui en découlent". Les revendications des syndicalistes sont claires : "Nous voulons le maintien de toute l'activité sur le site", explique Pascal Köhler (FO). En effet, le transfert d'une partie de l'activité sur Mauguio dans l'Hérault va engendrer la perte de sept emplois sur le site catalan. Au total, 15 postes sont concernés (5 dus à la baisse d'activité et 3 équivalents au "volant de remplacement"). "Il ne s'agit pas de licenciements à proprement parler. La direction propose des redéploiements à la distribution ou au guichet ou bien d'aller travailler sur Mauguio". Les syndicats dénoncent le traumatisme des agents, mais aussi l'impact sur la qualité du service public. Ils craignent pour la survie de la PIC Roussillon qui, rappelons-le, a été inaugurée il y a seulement quatre ans. Les syndicats dénoncent la souffrance des agents.

Par Jennifer Pasero

Source : http://www.lindependant.fr/2012/11/14/la-poste-les-syndicats-se-mobilisent,1701905.php Publié Le 14 novembre 2012

Nb : Partout & toujours la même vision à court terme basée sur les réorganisations permanentes, la baisse des charges et les suppressions d’emplois…

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14 novembre 2012 3 14 /11 /novembre /2012 11:10

 

Un salarié victime d'un accident de santé lié au stress, du fait d'une politique de surcharge de travail pour une réduction des coûts, peut invoquer la "faute inexcusable" de son employeur. C’est ce qui ressort d’un arrêt de la Cour de cassation, qui met en avant l’obligation de sécurité.

L'entreprise qui impose des rendements et des objectifs toujours plus hauts "ne peut ignorer ou s'affranchir des données médicales afférentes au stress au travail et ses conséquences pour les salariés", a jugé la Cour de cassation jeudi. Elle entérine de ce fait un arrêt de la Cour d'appel de Paris daté de juin 2011. Celui-ci stipulait qu'une entreprise devait "prendre utilement la mesure des conséquences de ses objectifs de réduction des coûts en termes de facteurs de risques pour la santé de ses employés" qui ne sont pas toujours en situation de s'y opposer.

L'obligation de sécurité de tout employeur ne peut pas "exclure le cas, non exceptionnel, d'une réaction à la pression ressentie par le salarié", disaient les juges. Cette obligation stipule que l'employeur est légalement tenu de mobiliser toutes les ressources à sa disposition pour préserver son salarié des risques auxquels il s'expose lorsqu'il est au travail. Dont la maladie liée au stress.

Le silence du salarié ne veut pas dire qu’il approuve

Cette décision de la Cour de cassation se base sur un exemple. Une entreprise avait divisé par cinq, en quelques années, le nombre de ses collaborateurs et augmenté de plus de 40% la production réclamée au salarié tombé malade. L’entreprise se justifiait en faisant valoir que la médecine du travail ne lui avait jamais signalé de problèmes de santé et qu'elle ne pouvait donc pas avoir conscience d'un risque. Les juges ont rejeté l'argument en invoquant notamment "le respect dû aux personnes concernées par ces choix" de direction et en soulignant que le silence du salarié, tributaire de son emploi, ne pouvait valoir approbation.

La faute inexcusable est donc reconnue puisque l'employeur "avait ou aurait dû avoir conscience du danger" et "n'a pas pris les mesures nécessaires" pour en préserver les salariés. Dans ce cas, la victime ou ses héritiers obtiennent une majoration d'indemnités, à la charge de l'entreprise. La Cour de cassation espère que le niveau des indemnisations à verser en cas de faute inexcusable est suffisamment dissuasif pour encourager les entreprises à ménager les salariés.

Source :http://www.humanite.fr/social-eco/l-employeur-coupable-de-faute-inexcusable-si-le-salarie-est-malade-de-stress-508297

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14 novembre 2012 3 14 /11 /novembre /2012 11:08

 

La Poste pourra augmenter le prix moyen de ses services d'un point de plus que l'inflation sur la période 2013-2015. L'Arcep, son autorité de régulation, a publié hier sa décision sur l'encadrement pluriannuel des tarifs du service universel postal pour les trois prochaines années. Les hypothèses retenues sont une baisse annuelle de 4,1 % des trafics et une inflation de 1,8 %. Dans ce cas de figure, la hausse moyenne des tarifs permise à La Poste serait de 2,8 % par an.

Cet encadrement est moins restrictif que le précédent. Sur la période 2008-2012, La Poste n'avait pu augmenter ses prix que de 0,3 point de plus que l'inflation. Le régulateur a souhaité tenir compte pour les trois prochaines années de la « perspective de baisse des volumes plus forte ».

De surcroît, La Poste se verra accorder « une marge supplémentaire d'augmentation de ses tarifs » par le biais d'un dispositif l'incitant à améliorer sa qualité de service, dispositif qui sera négocié début 2013 dans le cadre du contrat d'entreprise.

Alors que le prix des timbres évolue traditionnellement au 1 er juillet, cette augmentation de tarif pourrait concerner dès le 1 er janvier prochain le timbre rouge, celui de la lettre prioritaire, aujourd'hui à 60 centimes d'euro. L'Arcep a, en effet, souhaité que le prix de la Lettre verte (57 centimes d'euro pour un acheminement à J + 2), qui permet « des économies de coûts de transport [...], reflète d'avantage cette économie de coût». Le régulateur indique donc que « l'écart tarifaire entre la Lettre prioritaire et la Lettre verte sera porté à 5 centimes au moins ». Ce qui peut se faire de deux manières : soit baisser de 2 centimes le prix du Timbre vert, soit, ce qui semble le plus probable, augmenter du même montant le prix du Timbre rouge.

LIONEL STEINMANN

Source : L’ARCEP & Les Echos, Publié le 13 novembre 2012

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14 novembre 2012 3 14 /11 /novembre /2012 09:48

 

Depuis quelques mois, les directions de plusieurs bureaux suppriment les cafetières de nos facteurs. Et avec elles, ce qu’il reste de convivialité à La Poste.

cafetiere_cafe.jpg

Du café, dans une cafetière (Porschelinn/Flickr/CC)

La cafetière ronfle et crépite, c’est un objet qui met de bonne humeur. Le matin, elle circule de main en main comme une boîte de chocolats.

Mais à La Poste, à Paris, l’engin est perçu comme un danger latent, une meurtrière en sommeil, par la direction. Elle est bannie de certains espaces, officiellement pour des raisons de sécurité : risque d’incendie.

Ces volatilisations d’appareils mettent des postiers de mauvaise humeur et obligent les syndicats à écrire des courriers absurdes sur la menace réelle et sérieuse que représente une cafetière.

« Moins grave que les objectifs de vente »

Tous les matins, un facteur du Xe arrondissement prend son café dans la petite cour pavée, typiquement parisienne, d’une boîte de prod’. Cela devient une habitude. Il sirote, heureux. Il compense, dit-il. Depuis quelques mois, les facteurs de son centre ne peuvent plus utiliser de cafetière dans l’espace de tri du courrier. Ce moment convivial de l’aube lui manque.

Les explications de La Poste

Des cafetières ont été retirées, ces derniers mois, parce qu’elles posaient des problèmes de sécurité, en contradiction avec le code du travail : « La mauvaise utilisation de cafetières peut entraîner des surintensités électriques ou la création d’arcs électriques, potentiellement source d’incendie. »

Selon La Poste, tous les espaces sont également concernés : ceux des agents et des cadres dirigeants.

Au centre de distribution du Xe arrondissement, près de la gare de l’Est, ce lundi matin, une postière confirme en chuchotant.

« C’est truffé de caméras ici, vous savez. »

Elle nous dit que l’appareil a été interdit « des quartiers » (lieu de tri du courrier), il y a environ un an. Il faut désormais monter au troisième étage, dans la salle de repos, pour faire le café et le descendre sur un plateau.

« Un jour, les chefs sont arrivés et ils ont demandé à ce que l’on retire les cafetières et les objets personnels des casiers, des bureaux et des tiroirs. Pas étonnant : leur métier, c’est de tracer des routes et de nous les faire suivre.

Mais tout ça, ce sont des broutilles, cela ne provoque pas des suicides. C’est moins grave que les objectifs de vente aux guichets de la Banque postale par exemple. »

« Ça créait du groupe »

Ailleurs, la cafetière a disparu d’une salle de pause. Olivier Rosay, secrétaire départemental du syndicat, raconte que fin mai, l’équipe des manutentionnaires et agents de la cabine des lettres recommandées du centre du Ve arrondissement (une douzaine de personnes) l’a interpellé.

« Leur cafetière a disparu du jour au lendemain, ils n’ont pas été prévenus. Avant, ils se regroupaient à cinq ou six pour faire le café le matin. Ça créait du groupe. Maintenant, ils vont chacun leur tour à la machine automatique. J’ai essayé de régler le problème, mais ça n’a pas marché. »

Les appareils semblent poser moins de problèmes de sécurité dans les bureaux des cadres dirigeants du Ve arrondissement, ironise-t-il.

La bouilloire, réfugiée dans le local syndical

Le phénomène s’étend depuis l’été. Bruno Bernadin, qui travaille sur une plateforme de distribution du VIIIe arrondissement, raconte que depuis le mois d’août, la bouilloire a dû être retirée d’un bureau de collecte de recommandés de quatre personnes.

« Au début, quand les chefs sont venus leur demander d’enlever leur bouilloire, ils ont cru à une blague, puis quand la direction a menacé de la jeter à la poubelle, ils ont obtempéré. Elle a été placée dans le local syndical à un autre étage et maintenant il faut monter pour boire du thé. »

Il note que l’interdiction est intervenue au moment où son établissement est passé « palme d’argent » (le « processus palmes » récompense les directions qui font des efforts de sécurité dans le management quotidien).

« Pendant ce temps-là, on ne s’occupe pas des CDD »

Sébastien Baroux, délégué syndical , se bat contre l’absurdité de ces décisions :

« C’est insidieux depuis deux ans, c’est bureau par bureau. On essaye de se défendre en proposant dans des courriers d’acheter des machines qui s’arrêtent automatiquement au bout de quelques minutes. Pendant ce temps-là, on ne s’occupe pas des CDD. »

Le directeur de la Direction opérationnelle territoriale courrier (DOTC) Paris-Sud, David Chardin, lui a récemment répondu par courrier que le retour des cafetières allait être envisagé, localement.

A la direction de La Poste, on confirme réfléchir à un retour des cafetières sous conditions (appareil à minuteur, dans un local dédié, sans multiprise).

Des pots de départ au jus d’orange

Sébastien Baroux ne veut pas céder sur le café. En octobre, il a fait circuler un tract dénonçant les problèmes de convivialité à La Poste. Selon lui, les moments collectifs sont en voie de disparition depuis des années.

Les cafétérias disparaissent les unes après les autres pour des raisons budgétaires, parce que ce n’est pas le cœur de métier de La Poste.

Depuis plus de cinq ans, les facteurs n’ont plus le droit de faire des pots de départ avec de l’alcool, article 33 du règlement intérieur. Une postière du XIe arrondissement :

« On boit du jus d’orange comme des enfants. Ce n’est pas comme ça qu’on va régler les problèmes d’alcoolisme du personnel. »

Cette factrice rappelle aussi que les salles fumeurs ont disparu des établissements de La Poste : les normes sont trop difficiles à respecter, selon la direction. Elle rit de l’absurdité des choses quand elle raconte que la direction refuse de mettre un cendrier dans la cour intérieure.

« Massages et petits-déjeuners événements »

Depuis la vague des suicides, La Poste veut quand même créer du bonheur. Pour cela, elle organise « des séances de massage et des petits-déjeuners événements », grincent les facteurs.

Lors de ces opérations, des chefs distribuent des croissants aux employés et miment la bonne humeur. Les facteurs sont invités à dire merci et à sourire aussi…

Nolwenn Le Blevennec | Journaliste

Source : http://www.rue89.com/rue89-eco/2012/11/13/la-poste-le-mystere-des-cafetieres-qui-disparaissent-236958

Nb : Infantiliser les agents est une étrange méthode de management ! Diviser, casser l’esprit maison et l’esprit d’équipe par contre devient la règle !

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12 novembre 2012 1 12 /11 /novembre /2012 13:42

 

( TPE ): c'est parti !!

En décembre 2012, 4 millions de salariés des TPE, auront pour la première fois leur élection professionnelle.

En effet, ces entreprises ne sont dotées d'instance élue du personnel. Ces élections vont permettre de faire mieux connaître leurs droits à ces salariés ( notamment leurs droits sociaux ).

Il faut vous sentir concernés, qui d'entre nous ne rencontre pas l'ouvrier boulanger ou la vendeuse tous les jours, la secrétaire du cabinet médical, la vendeuse de chaussures, l'assistante maternelle, l'ouvrier maçon, le réparateur auto, la caissière de la supérette, etc.

Pour FO, il n'y a pas de TRES PETITES ELECTIONS!

Merci de vous impliquer pour faire voter FO!

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12 novembre 2012 1 12 /11 /novembre /2012 13:06

Courrier : Dialogue local et Périmètre CHSCT : Attention !

 

Depuis le 16 novembre 2011, conformément au décret 619 du 31 mai 2011, La Poste a mis en place les nouveaux CHSCT, non sans mal au vu des interprétations postales et des actions juridiques engagées et toujours en cours. Sur les 900 CHSCT existants, 705 sont au Courrier.

Dans le cadre de son projet dénommé « décentralisation », la direction du Courrier impose que la taille des établissements permette la mise en œuvre de cette nouvelle organisation dès 2013.

Dans ce sens, les DOTC ont redimensionné les périmètres des établissements. Or, cette restructuration des périmètres des établissements impacte directement les CHSCT existants et au-delà le niveau de représentation des OS.

Selon La Poste, en 2013, entre les suppressions et la création de nouveaux CHSCT, il ne devrait rester que 650 CHSCT au Courrier.

Face à cette réorganisation, croyant bien faire, certaines DOTC ont initié, seules, des négociations sur les modalités de mise en place des nouveaux périmètres des CHSCT et notamment sur le niveau de représentativité à prendre en compte pour la désignation des représentants des OS dans ces instances.

Force Ouvrière est intervenue à plusieurs reprises pour dénoncer ces négociations locales et exiger un cadrage national au niveau de La Poste.

Lors d’une rencontre en octobre dernier avec la DC, mais également au cours des différentes rencontres portant sur les chantiers de négociation, FO a réaffirmé ses positions :
- la mise en place des CHSCT à La Poste a été légiférée par décret (ci-dessus référencé).
- Toute discussion portant sur l’évolution des périmètres des CHSCT ou sur le niveau de dialogue local, ne peut se décentraliser au niveau territorial. C’est au niveau du Siège de La Poste que doivent être traités ces dossiers.

La Direction du Courrier confirme que ces points relèvent d’une concertation nationale et seront traités à ce niveau. Des instructions ont été données aux Territoires afin d’arrêter toutes discussions locales.

Toutefois, vu le poids que représente en matière de CHSCT le Courrier, la Direction désire échanger avec les OS afin d’alimenter la concertation nationale au niveau Poste. Le souhait de la DC est de trouver au plan national un consensus, une certaine stabilité dans le fonctionnement mais aussi dans la représentation des OS ! Elle ne souhaite pas qu’un DE soit président de plusieurs CHSCT. Afin d’avoir une vision sur les différentes situations répertoriées en matière de périmètres CHSCT et de leur évolution, un document papier nous a été remis [Télécharger].

Afin de se prémunir de toutes actions juridiques, le Courrier estime qu’un accord Corporate sera nécessaire !
En outre, la Direction du Courrier indique qu’elle ne souhaite pas amputer les heures de délégation mais les maintenir. La volumétrie des sièges ne peut être modifiée. Les CHSCT de NOD seront maintenus. Elle soumet à la réflexion la possibilité de transformer en « Personne Qualifiée », les représentants CHSCT des établissements qui sont regroupés sur un autre établissement où le CHSCT sera installé.

Pour FO, quelles que soient les propositions ou solutions envisagées (accord ou pas), elles devront être juridiquement en adéquation avec les textes réglementaires.

Nous avons rappelé, contrairement aux affirmations postales, que c’est La Poste qui avait de façon unilatérale décidé de l’implantation des CHSCT. Même si cette dernière estime avoir rempli sa mission en ouvrant une négociation en 2011, négo qui n’a pas abouti, nous considérons que le Siège aurait dû interroger la DIRRECTE quant à l’implantation des CHSCT. En effet, d’un point de vue juridique, le NOD, lieu où l’élection au CT a été réalisée, ou la représentativité s’exerce, constitue le niveau « Établissement ».

Au regard du document remis et des informations postales, nous avons rappelé que :
- les représentants des OS désignés dans les CHSCT avaient un mandat pour une durée de 4 ans. Ce mandat ne peut donc pas être remis en cause. Quant aux heures de délégation elles doivent être maintenues;
- contrairement au privé, les membres des CHSCT ne sont pas élus au travers d’une élection spécifique dans l’établissement. La désignation des représentants des OS dans ces instances s’est faite à partir d’un vote sur les CT, au niveau du NOD !
- les évolutions des périmètres doivent conduire à revoir la volumétrie des sièges des CHSCT dans les établissements;
- dans le cadre de regroupement de CHSCT, la proposition de transformer en « personne qualifiée », donc sans droit de vote, les représentants de ces CHSCT n’est pas acceptable car leur mandat leur donne des droits et la multiplication de « PQ » ne correspond pas au principe et la légalité du fonctionnement CHSCT
- La Poste a édité un BRH indiquant certaines modalités de répartition des sièges lors de création ou de regroupement d’établissement… quid de sa légalité actuelle ?

Force Ouvrière a revendiqué le diagnostic des évolutions des périmètres des CHSCT.
Quid des CHSCT supprimés, de ceux dont le périmètre évolue (regroupement d’établissements) et de ceux qui ne changent pas.

Nous appelons les sections départementales à une vigilance accrue. Nous vous demandons de ne nous tenir informer des invitations locales en matière de concertation sur le périmètre des CHSCT ou sur le niveau de dialogue social local.

Sur ces dossiers, nous vous recommandons de ne pas vous engager dans des négociations ou pseudos concertations. Ces points font parties des négociations prévues au plan Poste.

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12 novembre 2012 1 12 /11 /novembre /2012 13:02
DCB-Activités Bancaires : Logic, ou… Pas Logique ?

Cet outil a été acheté par La Banque Postale il y a plus de 10 ans……
[Télécharger en N/B] [Télécharger]

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9 novembre 2012 5 09 /11 /novembre /2012 10:02

Dans la Région:

CIRQUE DE NOEL 2012

37° EDITION

 

DAX

30 et 31 Décembre

MONT de MARSAN

5 et 6 Janvier

ST VINCENT de TYROSSE

27 Décembre

 

Tarif unique: 12 € au lieu de 15 € aux caisses du cirque, paiement par Chéque vacances accepté

Pour plus d'infos: Site www.cos64.fr tél: 05 59 32 10 01 du L au V de 8h30 à 12h

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